L’école républicaine a été proclamée sur le respect de l’égalité des jeunes devant la scolarisation, l’éducation et la formation initiale. Dès le début des différences ont pourtant été instituées par le maintien d’un enseignement primaire, du cours préparatoire au brevet supérieur, et d’un enseignement secondaire, de la onzième à la classe de première puis aux classes de philosophie ou de sciences. Il a fallu attendre l’unification des collèges dans les années 1960 pour que la distinction entre établissements s’efface mais trois filières différentes accueillaient les élèves de collège. La diversification des séries des baccalauréats prolonge cet état de fait à l’intérieur même des lycées polyvalents.
Le maintien de l’enseignement privé autour de 23% des élèves, le développement des écoles alternatives, des sections internationales, des classes à horaires aménagés, des langues régionales… reflète la prise en compte d’identités et de projets particuliers, alors même que le discours officiel est celui de l’école inclusive. Nous observons à travers les prismes de l’identité et du particularisme comment ils contribuent ou non à des fractures scolaires
L’éducation prioritaire, plus de 35 ans de relance et de refondation
L’enseignement privé implantation, organisation (En cours)
Enseignement adapté et jeunes handicapés
L’enseignement spécialisé du premier degré
L’enseignement adapté du second degré
Le genre, source d’inégalités de formation
Les établissements expérimentaux ou alternatifs
L’enseignement privé hors contrat
Origines sociales, parents et familles
Les CPGE : une affaire de scientifiques ?
La réouverture d’écoles publiques en Loire-Atlantique
Mise en ligne : 10 Mai 2019 Dernière modification : 06/01/2020
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